« Djinguesso, le procès des crapules de la République », ce sont les titre et sous-titre de l’œuvre romanesque de Souleymane T. Senn, ancien journaliste à la voie, et de plusieurs autres organes.
De la trame de son roman, l’éditeur lève un coin de voile : « A Djinguesso, rien était impossible, pourvu que le prix fût payé. Avec l’argent, tout est possible ; avec l’argent l’impossible devenait possible. Il prit contact avec Siriki, le gardien du plus grand cimetière de Djiguissèmin et lui fit la promesse de lui remettre une forte somme d’argent, s’il parvenait à lui apporter l’os du gros orteil d’un bébé décédé et enterré. Le marché fut conclu. Seulement deux jours après, l’homme l’appela et lui demanda de passer récupérer la marchandise selon ses mots. Il s’empressa d’aller au rendez-vous, remit au gardien l’argent promis et retourna chez lui avec l’os du bonheur, qu’il sécurisa dans le coffre-fort de sa résidence cossue. Il lui restait maintenant le challenge du cœur d’un enfant vivant… » écrit-il en quatrième de couverture.
En attendant, la dédicace, l’œuvre a été présentée au public le jeudi 31 octobre 2024, à la librairie Carrefour Siloé, sise à Cocody Saint-Jean.
TBT