L’église évangélique des assemblées de Dieu d’Akouédo temple Emmanuel a été le cadre de la dédicace d’un livre au titre évocateur, ce dimanche 8 septembre 2024 : cicatriser pour
guérir.
L’auteur, docteur Dominique Boko, pasteur, coach et géographe de son état.
Pour l’homme de Dieu, les blessures intérieures sont une réalité qui touche tout le monde. Ce sont des chocs émotionnels qui affectent profondément l’âme, se manifestant sous forme de rejet, d’abandon, d’injustice et d’humiliation. Elles sont une souffrance du cœur dont l’origine peut se situer à n’importe quel moment ou étape de la vie de l’homme et dont les effets persistent encore aujourd’hui dans les comportements.
Devant la gravité de ce mal qui pourrit la vie de plusieurs personnes, le pasteur homme de Dieu préconise une approche psycho-biblique de la guérison intérieure. Pour ce faire, il distingue plusieurs types de blessures intérieures.
Le rejet, l’abandon, l’humiliation, la trahison, l’injustice, la négligence émotionnelle, la perte. La perte, la violence émotionnelle, le stress post-traumatique.
S’appuyant sur les travaux et écrits de plusieurs psychologues, Dr Boko identifie cinq blessures de l’âme :
La blessure de la trahison
La blessure du rejet
La blessure de l’abandon
La blessure de l’humiliation
La blessure de l’injustice
Partant, le pasteur écrivain identifie deux sources des blessures intérieures : celle de nous-mêmes et celle des autres.
Pour lui, les blessures intérieures affectent la qualité de vie des personnes qui sont dans cette situation pouvant même entrainer des maladies psychosomatiques. Raison pour laquelle, l’auteur propose un protocole psycho-biblique pour en être guéri, car c’est cela le plan de Dieu. Cette guérison peut être physique, spirituelle ou morale.
L’écrivain propose de commencer par un diagnostic de soi en se posant des questions dont les réponses permettront une totale guérison.
Cette cérémonie a pris fin avec la dédicace proprement dite accompagnée de mots personnalisés pour chacune des personnes qui s’étaient procurés l’œuvre.
Nelly De Saint Domingue, journaliste indépendant