Les jours se suivent et se ressemblent. Le coronavirus impose sa loi au monde entier. Avec son corollaire de décompte macabre. Les pays comme l’Italie, l’Iran, l’Espagne, la France, ne savent plus à quel saint se vouer. La course au vaccin est certes lancée, mais devant l’ampleur du drame, l’on s’accroche aux médicaments existants, notamment la Chloroquine. Pourquoi l’Italie qui abrite le Vatican, siège de l’église catholique, paie-t-il un lourd tribut à la maladie à coronavirus ? Dieu est-il en colère contre le monde ? La réponse à ces hypothèses réside peut être dans « Natural mystic » de Bob Marley. Et montre que Dieu n’a jamais cessé de parler à ce monde et à l’avertir. Sur son lit de mort, il nous demandait dans « redemption song » de nous fortifier pour nous libérer de l’esclavage de notre esprit pour avoir accès à la liberté. Voici ce que dit le refrain : « émancipez-vous de l’esclavage mental. Personne d’autre que nous ne pourra libérer notre esprit. N’ayez pas peur de l’énergie atomique. Car aucun d’eux ne peut arrêter le temps. Pendant combien de temps tueront-ils nos prophètes ? Alors que nous sommes juste à coté et que nous regardons. Certains disent que ce n’est qu’une part de cela. Nous devons accomplir la bible. Et voilà la bonne nouvelle que trois petits oiseaux lui ont rapportée pour lui dire que tout finira bien. « Three little birds », ô profondeur infinie de la science de Dieu ». Et dire que cela nous a été communiqué il y a, ô mystère, environ 40 ans.
Axel Eliakim